Casino Versailles
Casino Versailles était une plateforme de pari créée par DeckMedia N.V., une compagnie propriétaire d'autres établissements réputés, à l'image de Sloto Cash. Elle était accréditée à Curaçao, une juridiction à qui l'on a souvent reproché sa légèreté dans le contrôle des activités des sites qui sont sous sa supervision. La plateforme faisait partie des rares établissements à accepter presque tous les joueurs du monde entier, et ce, malgré la dureté de la législation de certains pays. Elle était alimentée par l'éditeur de jeux Rival Gaming, dont la qualité des offres n'est plus à démontrer. Toutefois, tout porte à croire que cela n'a pas été suffisant pour la maintenir en activité. Le site avait tout pour devenir un grand nom de l'industrie, mais malheureusement, il a prématurément fermé ses portes.
Lorsqu'il était en activité, le casinoVersailles ne disposait pas de beaucoup d'offres promotionnelles, mais celles qu'il proposait n'étaient pas des moindres. Il y avait par exemple une offre sans dépôt de 30 €, laquelle permettait aux clients de profiter de tout ce qui était offert avant de passer à l'action. En dehors de cela, les parieurs pouvaient bénéficier d'un bonus de bienvenue qui était présenté sous la forme d'une superbe correspondance de 100% à hauteur de 400 € sur le premier dépôt. Les clients avaient aussi la possibilité de bénéficier d'une offre de retour d'argent dont le montant était de 200 €. Comme dit plus haut, la plateforme était alimentée par l'éditeur de jeux Rival, ce qui donnait aux joueurs l'opportunité de profiter des magnifiques i-Slots du fournisseur, ces titres qui intègrent de magnifiques fonctionnalités et un scénario interactif. Les joueurs pouvaient aussi profiter de jeux de table, de titres à jackpot, du poker et d'options de vidéo poker. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, le site bénéficiait d'une bonne réputation, mais certaines irrégularités ont été observées par endroits, ce qui a peut-être été à l'origine de sa fermeture précoce. Versailles Casino se vantait d'être l'établissement de pari de la « Cour des Rois », mais force est de constater que les sujets de la royauté l'ont vite désavoué.